Mesdames et messieurs, bienvenue à la réunion publique de la Chambre des communes. Au nom de tous les membres, je vous invite à nous rejoindre pour cet important événement de cette année.

Nous sommes honorés de vous accueillir aujourd’hui pour cette première séance de la nouvelle session. Au cours des 10 dernières années, les honorables sénateurs se sont engagés dans un vaste processus de consultation publique pour déterminer le niveau de la représentation parlementaire et le nombre de sièges à attribuer à chaque région. Le présent processus de consultation a commencé en janvier 2016 et se poursuivra jusqu’à la fin de l’année.

Cette réunion sera principalement axée sur la présentation des projets de loi du Sénat. Les honorables sénateurs discuteront également de diverses autres questions, y compris la motion du sénateur Buchanan, qui vise à créer un poste de commissaire à l’éthique.

Lors de cette séance, nous répondrons à toutes les questions des sénateurs, ainsi qu’aux questions des médias et des médias en ligne. Les membres des médias sont invités à se joindre à nous en tout temps pour poser leurs questions.

Nous vous invitons également à apporter avec vous tout document ou matériel pouvant être utile au sénateur. Nous vous encourageons à soumettre vos questions par écrit à l’avance. Il n’y a pas de limite de temps. Le temps de parole est illimité.

Il vous reste 020 secondes pour poser vos questions. Vous avez jusqu’au 17 avril à 17 heures pour le faire. Le sénateur Joyal et le sénateur Wallin peuvent commencer à poser leurs questions.

Je donne la parole à la sénatrice Wallin

Son Honneur la Présidente pro tempore : Le sénateur Wallin acceptera-t-il de répondre aux questions?

Le sénateur Wallin : Merci beaucoup, sénateur Joyal.

Je remercie également les membres du comité et tous les sénateurs. Merci pour l’invitation.

J’ai eu le plaisir de participer au comité de la régie interne du Sénat au cours des trois dernières années. C’est un comité qui traite de manière très respectueuse des dossiers de l’Assemblée. Nous sommes un comité très respectueux du Sénat. Nous avons parlé de nombreuses fois de l’éthique et des règles parlementaires. Nous avons abordé de nombreuses questions touchant les relations du Sénat et de l’Assemblée. Je tiens à dire au sénateur Joyal et au sénateur Wallin que je me réjouis que cette séance d’information soit organisée en compagnie des membres de notre comité de régie interne. Ce sont des gens avec qui j’ai eu des conversations et des échanges très respectueux, mais je tiens aussi à remercier tous les sénateurs qui sont présents ici, car c’est une tribune très respectueuse qui nous permet d’aborder toutes sortes de questions.

La sénatrice Wallin : C’est un plaisir pour moi d’être parmi vous aujourd’hui. Je vous remercie de m’accueillir. J’espère que nous pourrons poursuivre notre dialogue tout au long de cette séance d’information et que nous pourrons en discuter avec vous.

Il y a quelques jours, j’ai reçu un message d’une personne qui avait assisté à la réunion de la Chambre des communes, il y a un an environ. Il disait : « Le sénateur Wallin est très gentil, mais c’est un vrai casse-tête ». J’ai pris cela comme une bonne nouvelle. Je me suis dit : « Oh boy, ce ne sera pas facile, mais je vais y arriver ».

Mesdames et messieurs, je vous remercie de votre présence. Je vous remercie aussi de votre collaboration. Je vous remercie de faire partie du Comité sénatorial du Sénat et de la régie interne.

Vous savez tous à quel point il est difficile de maintenir l’ordre dans un hémicycle, même pour les plus grands sénateurs. Ce soir, je me demande quand nous allons commencer le processus d’ajustement. Il me semble que nous avons eu suffisamment de temps pour y penser.

Le sénateur Joyal : J’ai bien entendu la question du sénateur Wallin. Je lui donne la parole.

J’ajouterai simplement que le sénateur Wallin a pris une décision. Il a demandé qu’il n’y ait pas d’ordre du jour, et la sénatrice Wallin a accepté. Cela a été accepté par le sénateur Wallin. C’est donc une décision prise par le sénateur Wallin et non pas le sénateur Joyal.

J’invite les sénateurs à prendre la parole.

Son Honneur la Présidente pro tempore :

Le sénateur Joyal acceptera-t-il de répondre aux questions?

Oui, je vais répondre aux questions. J’ai eu l’occasion de participer à de nombreuses séances de ce comité et de ce sénat. J’ai beaucoup discuté de questions d’éthique et de règlement parlementaire, mais j’ai aussi eu l’occasion de parler de la situation du Sénat à l’époque de son arrivée au pouvoir. Je vais donc parler de la situation au Sénat. Je ne peux parler que de ce que j’ai vu. J’ai été le chef du Comité sénatorial du Sénat. Il est tout à fait vrai que les sénateurs étaient très préoccupés par la situation au Sénat à cette époque. Nous avions des doutes sur l’aspect constitutionnel du Sénat. À l’époque où je dirigeais le comité, je pense que nous avions tous des doutes sur le Sénat.

Nous avons tous des doutes à l’égard des sénateurs, mais nous n’avons pas toujours eu le courage de le dire publiquement. Nous avons fait part de nos préoccupations au Sénat et avons demandé des réponses. Nous avons reçu de nombreuses réponses, mais nous ne les avons pas toutes données publiquement.

J’en prends pour preuve le fait que, lorsque j’ai demandé si les sénateurs avaient le droit de recevoir des réponses, le président du comité m’a répondu que les sénateurs ont l’obligation de fournir les réponses, mais que nous ne pouvions pas divulguer les réponses.

Nous ne pouvions donc pas révéler publiquement les réponses. Nous avons donc décidé de ne pas révéler publiquement les réponses. Nous avons demandé des réponses. Nous avons demandé au sénateur Wallin et au sénateur Joyal de nous dire s’ils croyaient que le Sénat était légitime et si nous avions raison, si nous pouvions croire que le Sénat avait le droit d’exister, et ils nous ont dit que le Sénat était légitime. Ils nous ont dit que le Sénat avait le droit d’exister et qu’ils croyaient que c’était légitime, et c’est tout ce que nous pouvions faire. Nous leur avons dit que nous avions le droit de leur demander des réponses. Nous avons fait cela pour le Sénat pendant huit ans. Nous leur avons demandé des réponses. Ils nous ont dit qu’ils croyaient que le Sénat avait le droit d’exister. Ils nous ont donné la réponse. Nous avons donc demandé des réponses, et ils nous ont dit qu’ils croyaient que le Sénat avait le droit d’exister. Cela a pris huit ans, mais nous avons obtenu des réponses. Nous avons obtenu des réponses.

Tout cela a été fait de bonne foi, dans l’intérêt des sénateurs et dans l’intérêt du Sénat. C’est cela que nous avons fait. Nous avons demandé des réponses, et nous avons obtenu des réponses. C’est ce que nous faisons. Nous essayons de nous faire une idée de la situation au Sénat à cette époque. Le sénateur Wallin a fait une déclaration à ce sujet il y a un an. Nous essayons de faire une certaine sorte de projection et de voir où nous nous situons. Nous sommes tous les deux ici à la tribune pour la première fois et nous voulons comprendre comment cela se passe. Nous voulons comprendre ce qui se passe au Sénat à cette époque. J’espère que nous avons fait une bonne partie du travail que nous avions à faire. Nous avons demandé au sénateur Wallin et au sénateur Joyal de nous dire s’ils croyaient que le Sénat avait le droit d’exister. Nous leur avons dit que nous avions le droit de leur demander des réponses, et ils nous ont dit qu’ils croyaient que le Sénat avait le droit d’exister. Cela a pris huit ans.

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